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Donc nous serions islamophobes ? Et eux,Francophobes?

France Dantan
Donc nous serions islamophobes ? Et eux,Francophobes?

Donc nous serions islamophobes ? J’assume !

Nous-y voilà enfin !

Devant les sondages impitoyables qui démontrent le rejet massif des Français de souche de l’islam, l’islamophobie, vient donc remplacer le mot « racisme ». Comme c’est simple. Désormais, l’islamophobie sera désormais du ressort des tribunaux d’exception. Déjà, les musulmans se rassemblent devant une mosquée pour hurler à l’islamophobie et exigent d’être protégés par la République.

Jusqu’à présent, je me présentais comme islamo-critique, puisque je critiquais une religion que je trouve incompatible avec mes valeurs, ma façon de vivre, celle d’une occidentale qui aime les arts, la musique, la littérature, la liberté sexuelle, celle de la femme, boire des coups, enfin toutes ces choses qui font de nous des peuples civilisés. Désormais, je me vois contrainte devant tant d’événements révélés et ceux plus nombreux encore, non révélés, de me ranger parmi les islamophobes.

Cet islam qui interdit tout de notre culture, malgré les protestations de l’onctueux Malek Chebel ou d’Abdelwahab Medeb, qui font leur métier de propagandistes islamiques avec des sourires à faire tomber des barreaux de chaises et les bobos islamo-collabos, dont Bertrand Delanoë est le général en chef. Assisté par Tarik Ramadan jamais un plateau en retard pour prêcher la « bonne parole islamique ».

L’Arabie Saoudite est l’exemple criant de mon rejet. De tout ce que je refuse. Royaume, gardien officiel et mondial de l’islam. Aucun lieu de loisirs. Que les centres commerciaux où l’on va « shopper ». Seul loisir. Dépenser son argent pour acquérir chèrement les produits occidentaux, pourvu que ce ne soit pas de l’alcool ou du cochon.

C’est donc vers cet obscurantisme que veulent nous mener les islamistes en France. Ils sont certes en minorité, ces islamistes, mais la masse musulmane reste silencieuse car, elle le sait, en cas de victoire de ses agitateurs, elle sera contrainte de les rejoindre, ou les rejoindra volontairement. Hassan II, feu roi du Maroc le disait : « Quand on est musulman, on ne peut pas être français. » Et Houari Boumedienne du haut de la tribune de l’Onu nous avertissait déjà en 1974 : « Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère Sud pour aller dans l’hémisphère Nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Leventre de nos femmes nous donnera la victoire. »

Donc, nous serions islamophobes ! Mais quelles en sont les raisons ? Je crois qu’elles sont toutes simples. Ces musulmans et convertis, imposent de plus en plus leurs usages, leurs valeurs, incompatibles avec la République. Ils sont détenteurs, promoteurs d’une religion drapée dans une idéologie politique inacceptable pour la nation française. Depuis quelques années, ils testent la nation. Avec succès, puisque la nation recule à chaque revendication, de peur d’émeutes violentes. Se montrer lâche face à l’islam et il en profite. Se montrer fort, et il recule. Le problème est, qu’ils ne rencontrent que lâcheté et, ils ont bien raison d’en profiter. Ils sont dans leur rôle de conquête.

Cela a commencé avec le foulard porté par des filles dans une école de la république, sous Jospin. Action qui a provoqué des débats non résolus. Pour la simple raison, que le mot « islamophobe » est apparu pour la première fois, inventé d’ailleurs par les iraniens, afin de culpabiliser l’occident à l’ONU. Terme, destiné à intimider tout un pays et à lui faire battre sa coulpe d’ancien « colonisateur ». Et, le pays s’est laissé intimider, terroriser par les détenteurs de la religion de « tolérance, de paix et d’amour ». Ensuite, sont apparues dans nos rues, ces femmes, affublées de sacs noirs, visages couverts et gantées. Des barbus en kamis et babouches et, leurs enfants maintenant, de plus en plus vêtus pareils. Des écoles coraniques, de plus en plus nombreuses se créent. Vinrent les prières de rue, qui étaient le fait d’une occupation politique. Et, la construction d’innombrables mosquées qui défigurent le paysage France. Financées souvent par les fonds publics en contradiction flagrante avec la loi de 1905.

Cet islam qui a lancé une fatwa, au pays des droits de l’homme, qui a aboli la peine de mort, contre Robert Redeker, parce qu’il a osé critiquer l’islam en 2006 dans le Figaro. Depuis des années, il doit vivre caché, sous haute protection policière. Qui s’en émeut ?

Cet islam, au nom duquel, les associations antiracistes poursuivent leurs dissidents en justice pour les écraser économiquement. Les faire taire définitivement. Ils font la sale besogne de l’islam en persécutant de leur censure inquisitrice ceux qui se défendent contre le remplacisme islamique. Zemmour, Rioufol, Cassen, Hilout, Tasin, Philarchein, Camus. La liste est prête à s’allonger davantage.

Il me semble bien normal, que les Français de souche se sentent soudain ailleurs. Plus chez eux. Richard Millet fut voué aux gémonies pour avoir osé une déclaration dans ce sens. Quand la justice créée l’injustice. On leur impose la viande hallal, aux Français, avec ce que cela comporte de cruauté dans l’abattage des animaux et de dangers sanitaires. Qui consomme hallal, finance le culte musulman. Des discriminations dans les cantines où l’on ne sert plus de porc, ainsi que dans les hôpitaux. Des agressions fréquentes dans les hôpitaux par les tenants de l’islam, qui refusent que leurs femmes se fassent soigner par des hommes. Les revendications de plus en plus fréquentes dans tous les domaines. Salles de prières dans les entreprises. Respect absolu du ramadan, glorifié nouvellement, depuis deux ans sur toutes les ondes, dans tous les journaux. Les politiques qui se pressent à souhaiter bon ramadan alors qu’ils évitent, omettent, oublient de souhaiter bonnes Pâques ou joyeux Noël ! Tout ce qui fait nos coutumes, notre culture, nos usages millénaires ! Vacances de Noël, transformées en vacances « d’hiver » pour ne pas heurter ces chers musulmans. Disparition d’arbres de noël. Régression du niveau scolaire pour se mettre au diapason de ceux, qui par leur origine, ne bénéficient pas d’aide à la maison. Puisque les parents majoritairement ne maitrisent pas le français. L’hymne national sifflé. Drapeaux d’ailleurs, brandis le jour de l’élection Hollande, qui doit son pouvoir à 93% des voix musulmanes. Auxquelles l’ascenseur sera rendu, contre le peuple de France.

L’espace public est envahi par l’islam venu d’Afrique du Nord et d’Afrique subsaharienne. Ces gens, ces musulmans refusent l’intégration, l’assimilation au pays d’accueil. Pire, ils le haïssent. Cela se traduit par les razzias, les émeutes, les pillages, les égorgements, les trafics de drogues destinés à l’achat d’armes. Les banlieues sont armées contre une population de souche mains nues. Jamais la société française n’a été aussi violente ! Cet envahissement est soutenu, promu par la franc maçonnerie, les socialos-collabos, umpistes-collabos, extrême gôchistes-collabos, qui défilent avec les amoureux du Hamas, qui hurlent sur le pavé parisien : « mort aux juifs ». Pour l’instant, seule Marine le Pen fait front !

Alors, à la vue de tout ce que je décris, le réel, je me suis rangée, aujourd’hui, dans les rangs des islamophobes. J’estime que c’est un devoir de citoyen de cette nation, à laquelle j’ai adhéré pour le meilleur, mais pas pour ce pire islamique.

Aucun étranger venu en France n’a autant changé sa géographie, sa société, que l’islam est en train de le faire, à coup de boutoirs récurrents, avec violence. Pourquoi donc s’étonner de l’islamophobie ? Elle est le rejet naturel d’un corps étranger à la nation, à la démocratie, à la république, à la France. L’unique problème de la France c’est l’islam. Qu’on se le dise.

Ainsi en va-t-il dans toute l’Europe. Cette conquête avance et les peuples, massivement ne l’arrêtent pas, parce qu’ils sont des victimes consentantes. C’est la triste réalité qui me rend aujourd’hui très pessimiste. Et, je ne vois pas comment on peut venir à bout de la conquête avec des peuples qui se positionnent en victimes consentantes.

Sylvia Bourdon

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