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Thousand and One News Pour informer ceux qui n'ont pas le temps de lire les journaux,ici vous trouverez le meilleur de l'actualité.

La Fake News du siècle : le réchauffement climatique

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La Fake News du siècle : le réchauffement climatique

Par Hervé Azoulay


Quand allons-nous arrêter ce grand mensonge
 et faire croire qu’en 150 ans d’industrialisation nous avons changé le climat ? Le catastrophisme climatique est sans fondement et l’effet de serre est devenu un élément central du discours sur le climat. On peut comprendre cet aveuglement collectif quand on n’est pas spécialiste du sujet et de ce fait on a tendance à faire confiance à la majorité en oubliant qu’elle peut être dans l’erreur !
Le climat n’est pas le principal problème de l’humanité, intéressons-nous aux véritables causes pour éviter de rentrer dans l’anthropocène en s’attaquant à la gouvernance mondiale et en s’attardant sur les bienfaits du Développement Durable pour sauver notre planète. Alors pourquoi le programme des apparatchiks de l’ONU sur l’environnement (GIEC) prédit-il la fin de l’humanité à brève échéance ? Comment être convaincus par le rapport du groupe d’experts intergouvernemental du GIEC qui se concentre sur les 150 dernières années. Il est évident qu’à l’échelle de l’évolution de la terre la mesure n’est pas significative.
Pour démontrer que l’alarmisme est infondé, nous nous nous appuierons sur les travaux de nombreux experts mondiaux sur le climat dont : Richard Lindzen, climatologue, ancien professeur au MIT, membre de l’Académie américaine des sciences, il est l’un des meilleurs connaisseurs du réchauffement global. Mike Hulme, fondateur du Tyndall Centre de l’Université d’East Anglia, très en pointe sur le réchauffement climatique. Werner Munter, spécialiste reconnu des avalanches qui planche depuis trois ans sur le réchauffement climatique. John Christy, climatologue, professeur des sciences de l’atmosphère à l’université d’Alabama à Huntsville, spécialiste mondialement reconnu des mesures de températures satellitaires avec près de 100 publications évaluées par des pairs.
Tous les experts sont d’accord sur le fait que le climat a changé tout au long de l’histoire de la terre et qu’il fait maintenant environ 1 °C de plus qu’à la fin du petit âge glaciaire. Le CO2 est un gaz à effet de serre et son augmentation devrait entraîner un certain réchauffement. Par contre que les activités humaines contribuent à l’augmentation du CO2 est le seul point sur lequel ils ne sont pas d’accord. En effet il n’y a aucune justification scientifique à l’alarmisme, car il s’agit de petits changements d’un résultat que l’on peut à peine distinguer de zéro. D’ailleurs on a constaté un réchauffement presque identique entre 1919 et 1940 qui ne pouvait pas être attribué à l’homme. La planète a toujours connu des épisodes de canicule. Il faut aussi noter que le réchauffement d’environ 1 °C depuis le XIXe siècle s’est accompagné d’une amélioration de tous les indices du bien-être humain, y compris la qualité de l’environnement ! Rien que dans les 10.000 dernières années, il y a eu cinq pics de températures comparables à celui que nous vivons. Ces optima correspondent à des cycles naturels par exemple au Moyen Age, il était possible d’aller en vallée d’Aoste depuis Arolla avec les troupeaux car le glacier n’existait plus, idem pour le Sahara qui était une savane avec des lacs, des arbres et des éléphants. Et pendant des centaines de milliers d’années, il a fait plus chaud qu’aujourd’hui et parfois jusqu’à 7 degrés de plus! On nous parle de la concentration de CO2 comme d’un poison mais il faut dire aussi que c’est un gaz vital. Dans l’atmosphère il est négligeable et représente un peu moins de 0,5% avec un maximum de 5% de cette quantité qui est imputable à l’homme. Et on veut nous faire croire que cette infime proportion due à l’homme est une catastrophe ! C’est aussi une manipulation intellectuelle de parler de CO2 en tonnes plutôt qu’en proportion et c’est aussi un amalgame volontaire.
Des tonnes, ça impressionne, mais rappelons que l’atmosphère pèse 5. 000 .000. 000 .000 .000 tonnes !
En effet, l’enjeu du changement climatique soulève un grand nombre d’intérêts particuliers et ce malgré le manque de preuves. Quand des scientifiques du GIEC disent qu’ils veulent sauver la planète, ils mentent pour préserver leurs intérêts économiques et ceux des lobbies car il y a tout un business derrière la lutte contre le réchauffement. Mais qui a donc intérêt à pousser au catastrophisme climatique malgré le manque de preuves ? C’est simple : tous ceux qui ont un intérêt, c’est-à-dire les économistes de gauche, pour qui le réchauffement climatique représente un exemple suprême de défaillance des marchés, les apparatchiks de l’ONU avec son bras armé, le GIEC, pour centraliser le pouvoir mondial et être le maître du jeu, les nouveaux milliardaires qui disposent de beaucoup d’argent (Google, Facebook, Amazon…) et qui trouvent que l’enjeu de « sauver la planète » leur donne une bonne image sachant que ces entreprises deviennent des nœuds incontournables sur le contrôle et la maîtrise de l’information mondiale et font peser une menace sur les citoyens, leurs objectifs étant de servir leur propre intérêt financier dans un monde marchand sans penser un seul instant à l’intérêt collectif ! Nous trouvons également les écologistes qui veulent effrayer les naïfs pour qu’ils fassent des dons à leurs associations ou aux nombreuses ONG, les dictateurs du tiers monde qui vous culpabilisent pour obtenir des subventions des pays riches, les politiciens qui ne risquent pas d’être contredits par la réalité, les médias pour vendre de l’information catastrophique, les industriels attirés par les fortes sommes d’argent mises à disposition pour l’énergie durable, des scientifiques à la solde des lobbies divers…et ainsi de suite !
Le Président des Etats Unis d’Amérique, Donald Trump a été traité de « crétin » par les médias français car il est le seul à avoir compris l’arnaque du réchauffement et a été le premier à la dénoncer pour libérer son pays de ce lourd fardeau !
Le Développement Durable pour sauver la planète
Le climat est un sous-système de l’environnement qui est lui-même un sous-système du Développement Durable, nouveau modèle de société en cours d’émergence, qui repose sur ses trois piliers interdépendants, interactifs et qui prennent en compte l’environnement, l’économique et l’équité sociale. La refondation terre doit s’imposer comme une nouvelle force entre les nations et doit devenir le nouveau pilier entre les besoins sociétaux et économiques et les capacités de notre planète. Alors comment optimiser grâce aux nouvelles technologies les ressources rares limitées au niveau global de notre planète ? Plutôt que de partir de limites absolues de la planète il faudrait partir des possibilités du changement en utilisant les nouvelles technologies numériques. Ces nouvelles technologies rendront le monde plus maîtrisable et c’est grâce à l’inter-créativité que nous pourrons produire des biens durables et recyclables, repenser les transports, l’énergie, le logement, la ville. Cette évolution post- technologique nous conduit vers le post-humanisme, courant de pensée qui croit que, par l’apport de nouvelles technologies convergentes, on va pouvoir modifier la nature humaine. Nous serions dans un monde dans lequel on pourrait reprogrammer la nature et où la sélection ne s’effectuerait plus au hasard, grâce à l’ingénierie génétique. L’homme aurait alors des capacités intellectuelles et physiques supérieures dont les répercussions positives seront par exemple, de réparer le corps humain à l’aide de prothèses connectées au système nerveux, de rallonger la vie en réduisant le vieillissement, ou encore d’avoir une puce implantée dans le corps pour régulariser le taux de sucre ou de cholestérol. La mutation serait prodigieuse !
Si on veut définir un nouvel ordre mondial à savoir répartir les richesses, se préoccuper de notre environnement, faire évoluer l’économie solidaire, éviter les guerres, lutter contre les génocides, le terrorisme, les états voyous et établir un nouveau système de régulation, il faut raisonner différemment. Notre monde n’a jamais été aussi en effervescence et il est au bord du chaos et c’est un vrai danger pour la planète.
Refondation du monde : la gouvernance mondiale en surchauffe
Pourquoi en sommes-nous arrivés à ce stade ? Cette situation, prévisible par le passé, incombe à l’égoïsme et l’hypocrisie de tous les états et aux systèmes régulateurs qui n’ont pas su se réformer. Tous les systèmes régulateurs mis en place après la seconde guerre mondiale sont en surchauffe et ne régulent plus rien ! Que dire de l’ONU, cette organisation que le Général De Gaulle appelait « le zinzin » et qui intègre 193 états parmi lesquels des états corrompus, voyous, sanguinaires et terroristes et où chaque état a une voix ! Ce fait génère des résolutions parfois aberrantes et qui seront votées à la majorité ! Pourquoi ne pas favoriser les états qui apportent de la valeur ajoutée à l’humanité en leur donnant un droit de vote bonifié et minorer ce droit aux états voyous et à ceux qui ne respectent pas la démocratie.
L’ONU a apporté plus de problèmes que de solutions et il ne peut fonctionner sans l’appui d’une grande organisation. Le conseil des droits de l’homme de l’ONU composé de 47 états, vote des résolutions alors que dans ses rangs et dans les pays qu’ils représentent les droits de l’homme sont bafoués. Comment également l’UNESCO, une organisation de l’éducation de l’ONU, peut-elle encore prétendre éduquer alors qu’elle est devenue négationniste sur l’histoire des peuples ! Quant au FMI et la BM ils ont été créés pour assurer la stabilité financière du monde, mais celle-ci ne semble plus assurée du fait de leur politique et de leur mauvaise gestion. La BM et le FMI ont systématiquement prêté des fonds à des états afin d’influencer leur politique. Ces deux institutions financières internationales (IFI), créées en 1944, sont dominées par les États-Unis et quelques grandes puissances alliées qui agissent pour généraliser des politiques contraires aux intérêts des peuples. Depuis leur création ils ont violé les pactes internationaux sur les droits humains et n’hésitent pas à soutenir des dictatures. Nous pourrions continuer cette description sans fin et se contenter de dire qu’un nouvel ordre mondial doit émerger. Oui, mais lequel ? Quelle gouvernance : démocratique ou pas ? Pour réguler notre système à bout de souffle, le dilemme est de savoir si on se satisfait du statu quo actuel ou bien si on agit pour en sortir !
Il y aura probablement des amateurs pour monter dans l’arche de cette nouvelle société, mais hélas quand le déluge se sera produit.

Hervé AZOULAY

Azoulay
Hervé AZOULAY est le  Président d’ATHES (Finances et participation), Président du Groupe d’Amitiés France Etats Unis, auteur de nombreux ouvrages et de tribunes dans la presse, intervenant à l’université et dans de grandes écoles en France et à l’étranger. En outre il est spécialiste reconnu de la Chine.

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Hervé AZOULAY pour Observatoire du MENSONGE
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