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Le terrorisme applaudit à l'assemblée nationale

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Beltrame : et tous les députés islamo-fellateurs applaudirent Edouard Philippe
Publié le 27 mars 2018 - par  

Je l’avoue, je n’ai pas la télévision, et jusqu’à ce jour, je ne payais pas la taxe. D’après ce que j’ai compris, c’est terminé, et même si on n’a pas la télé, Macron et ses sbires vont encore nous racketter. Il faut bien payer les migrants et les mineurs isolés, ainsi que toutes les associations collabos qui les défendent.

Ce jour, invité chez des amis, je me retrouve, à 15 heures, devant la télévision, pour la séance des questions au gouvernement, posées par les députés des différents groupes. Mais ce jour est exceptionnel, car tout tourne autour de la mort du colonel Beltrame, à qui la Nation va rendre hommage ce mercredi.

Donc, tous les députés collabos – auxquels il convient de retirer les huit députés élus FN, Nicolas Dupont-Aignan, et quelques rares députés LR – qui ont sur les mains le sang des quatre victimes de Carcassonne, et celui des 250 autres victimes de l’islam, vont faire semblant de nous faire croire qu’ils servent à quelque chose, qu’ils sont indignés, que tout cela n’est pas bien, etc. Bien évidemment qu’ils ont sur les mains, par la politique migratoire qu’ils soutiennent, et par l’islamisation de notre pays qu’ils accompagnent, de tous les crimes et agressions commis au nom de l’islam.

C’est que la veille, il s’était passé des choses graves. Laurent Wauquiez lui-même avait mis en cause le gouvernement, et contesté la volonté de ce régime de lutter vraiment contre les Frères Musulmans. Et Marine Le Pen avait même demandé la démission du cacochyme qui nous sert de ministre de l’Intérieur.

L’heure était grave. Essayant de paraître martial, le fluet mou du genou qui préside l’Assemblée nationale, de Rugy, nous raconta des platitudes, et demanda aux députés une minute de silence, qui dura vingt secondes !

Puis on donna la parole aux présidents de groupe.

Passons sur les charlots de gauche, qui ne représentent plus rien, et enfilèrent des lieux communs.

Passons sur André Chassaigne, le dernier des Mohicans communistes, qui parla pour ne rien dire, et se fait applaudir par les siens.

Bref, que du classique, la République ne capitulera pas devant la menace, et autres effets de manche d’impuissants.

Mais intéressons-nous aux deux poids lourds de l’opposition préférée de Macron-Philippe, Mélenchon et Jacob.

Méluche, qui s’était fait ovationner en faisant croire qu’il avait failli être victime d’un attentat d’extrême droite (information totalement bidonnée, démentie par Edouard Philippe lui-même), nous fit un véritable numéro de soumission, expliquant qu’il se rangeait du côté de l’unité nationale, comme la serpillière qu’il a toujours été. Bien évidemment, il fut ovationné par tous les collabos, qui l’invectivent quand il défend les grévistes de la SNCF.

Quant à Christian Jacob, le moins qu’on puisse dire est qu’il fut bien en dessous de Laurent Wauquiez, multipliant gentilles critiques et sens de l’unité nationale. Bref, service minimum, au nom de l’unité nationale.

S’étant fait servir la soupe par des présidents de groupe soumis (Marine et Nicolas Dupont-Aignan ne purent prendre la parole, bien que représentant 11 millions d’électeurs), Edouard Philippe put faire un numéro de claquettes, tant les présidents de groupe lui avaient servi la soupe.

D’abord, c’est un techno, très mauvais orateur, incapable de faire parler des tripes patriotiques qu’il n’a jamais possédées. Il multiplia les phrases creuses, compassionnelles, pour mieux démontrer son immense impuissance. Le moment fort de son intervention fut quand, interpellant ceux qui réclamaient l’arrestation, l’expulsion ou l’emprisonnement des fichés S de nationalité étrangère, il leur expliqua qu’il ne fallait pas faire de démagogie. Ben voyons !

Et surtout ce passage inoubliable, qui devrait lui valoir le prix de la Dhimmitude 2018, où il expliqua que l’interdiction du salafisme en France, mollement réclamée par Manuel Valls (qui avait préféré quatre groupe inoffensifs, quand il sévissait place Beauvau), était impossible par rapport à notre législation, et à notre culture des Droits de l’Homme. Et Philippe réussit même à parler des réseaux sociaux, laissant entendre qu’ils représentaient un danger pire que celui des égorgeurs.

Et Chassaigne applaudit. Et Mélenchon, aux anges, applaudit également, frénétiquement. Ouf ! Leurs copains électeurs, ceux à qui ils doivent leur mandat de député, ne seraient pas inquiétés. Pas grave s’ils continuent à tuer des Français, c’est parce que notre pays ne les a pas assez bien accueillis, et que les malheureux ont été victimes du racisme des blonds aux yeux bleus.

Donc, tous ces députés islamo-fellateurs, sauf les FN, qui ont, à 95 % d’entre eux, par la politique menée depuis trente ans, le sang des victimes de l’islam sur les mains, applaudirent frénétiquement celui qui venait de leur dire que rien n’allait changer, et que les Français non-protégés allaient continuer à se faire tuer, comme les quatre de Carcassonne, à cause des décisions des protégés (écouter Tatjana au bout de une minute).

Aucun d’entre eux n’avait prononcé de gros mots. Pas un n’avait osé évoquer l’égorgement du colonel Beltrame, ni proféré le mot « islam ». Ouf, tout le monde s’était bien tenu à table, pour le plus grand bonheur d’Edouard Philippe et des islamo-collabos de LREM.

Cela nous prépare à la mascarade que nous allons subir, demain, toute la journée, autour de l’hommage au colonel Arnaud Bertrame, par ceux qui sont juste coupables de sa mort, et de celle de toutes les victimes de l’islam, sur notre territoire. Macron va nous faire pleurer, en récitant un texte écrit par son nègre, par ailleurs talentueux. Et chacun, l’air martial, fera semblant d’être ému et grave… jusqu’au prochain assassinat musulman, contre lequel ils n’auront rien fait… comme cela se passe depuis janvier 2015.

Ne vous laissez pas enfumer, compatriotes, et, tout en respectant le gendarme, insultez devant vos postes de télévision les collabos qui vont essayer de se faire mousser, qu’il se nomment Macron, Philippe, Collomb, Castaner, Mélenchon et tous les islamo-fellateurs qui vont nous faire leur numéro de « Pas d’amalgame » tout au long de la journée.

Si nous étions sur les plateaux de télévision, nous dirions qu’il y en a marre de tous ces mensonges d’Etat. Nous ajouterions qu’il n’y a qu’un seul coupable, l’islam, donc Mahomet et le Coran, qu’il faut interdire de visibilité ce dogme totalitaire en France, qu’il faut dissoudre toutes les associations musulmanes. Et nous aggraverions notre cas en affirmant qu’il faut rétablir nos frontières, tuer les djihadistes, exclure les adeptes de la charia et virer tous les clandestins qui sont en France pour profiter de notre système social solidaire.

Bref, on se tiendrait mal à table, et c’est pour cela qu’on n’est pas près d’être invité…

En attendant, demain sera la journée des islamo-collabos, qui vont nous imposer des discours pleurnichards.

Mais ne vous inquiétez pas, demain soir, on va vous venger, et on va encore s’occuper d’eux comme ils le méritent !

Martin Moisan

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