Sait-on sincèrement où va-t-on ? Dans quel déluge nous nous engouffrons ? Ce qui fait la France, ce qui nous identifie, ce qui nous permet d’être au fond ce que nous sommes dans nos tripes, cet héritage deux fois millénaires que nous portons, et bien tout ça faut le déglinguer, le jeter aux poubelles, le mettre aux orties.
Souvent mes ennemis ou plutôt les lecteurs de gauche malintentionnés me disent complotistes lorsque je parle de « grand remplacement » cette théorie du très bon Renaud Camus affirmant que nos élites cosmopolites imposent d’autres peuples que celui de la France originel contre celui déjà existant et y vivant depuis l’an 1 du baptême de Clovis.
Je veux bien être d’accord avec ces gens qui portent ces œillères et ne veulent pas voir ce qui en réalité se préparent, mais comment appeler donc ces politiques urbanistes visant à détruire des monuments, des églises, des beaux bâtiments ou que sais-je encore pour y construire des logements afin d’y placer des centaines de migrants ? Je suis peut-être très bête mais je ne vois pas comment nommer ça autrement.
Les nôtres quittent les centres-villes pour s’installer là-bas loin après les périphéries. Ces déménagements sont quasi-imposés par les pouvoirs publics. Regardez les grandes villes, regardez Paris, Lyon, Marseille, ce qu’il en est.
Si ce n’est pas une volonté de « grand remplacement » qu’est-ce que c’est alors ?