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Après les retraites ?

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Après les retraites ?
L'Etat ampute de 200 millions le budget des maisons de retraite publiques. Les vieux coûtent trop cher.
L'immigration nous coûte 20 milliards d'euros par an. On ne dit pas que c'est trop.
C'est un vrai choix de société qui est dissimulé au bon peuple bêlant.
 
 
L'Etat ampute de 200 millions le budget des maisons de retraite publiques
 
Retraites. Une loi adoptée par François Hollande impose une modification du calcul des dotations aux maisons de retraite.
Adoptée l'an dernier, alors que François Hollande était encore président, la loi sur l'adaptation de la société au vieillissement (ASV) commence à faire sentir ses effets. Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'ils ne sont pas tous positifs. Selon la Fédération de l'hospitalisation française (FHF), qui s'exprime dans les colonnes du Parisien, la modification du calcul de la dotation dépendance a eu pour conséquence d'amputer le budget des maisons de retraite publiques de… 200 millions d'euros.
 
Un indice départemental qui moyennise…
 
Jusqu'à présent, la dotation dépendance, versée par les départements aux établissements qui accueillent des personnes dépendantes, était fixée au cas par cas, en fonction du nombre de personnes accueillies et du niveau de dépendance de celle-ci. Afin de renforcer l'égalité entre les établissements, la loi ASV a choisi de mettre fin à ce système : à la place, elle a créé un “indice départemental”, qui verse cette dotation en fonction d'une moyenne départementale.
 
… Et fait des perdants
 
Résultat, si, au global, les sommes versées sont restées globalement les mêmes, les établissements qui accueillaient le plus de personnes âgées dépendantes ont payé le plus lourd tribut. Le problème, c'est qu'il s'agit essentiellement d'établissements publics, dont les budgets ont déjà été comprimés ces dernières années. “Le précédent gouvernement n'a pas mesuré que les établissements sont au bord du point de rupture. Cette décision les fragilise davantage”, s'inquiète Frédéric Valletoux, président la FHF, qui appelle à ce que les versements publics restent au niveau de 2016
 
 
On y vient
 
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