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le danger présent, et futur, devant lequel se trouve la France.

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le danger présent, et futur, devant lequel se trouve la France.
Publié par Manuel Gomez
 

 

Fermer les yeux, refuser de voir, suffit-il à écarter le danger ?

Deux études récentes, commandées et organisées dans le seul but de rassurer les citoyens français, et de donner raison au slogan gouvernemental «Pas d’amalgame», viennent prouver, si cela était nécessaire, le danger présent, et futur, devant lequel se trouve la France.

Le premier, publié le 18 septembre par l’Institut Montaigne et réalisé par l’IFOP sous le titre «Un islam français est possible», nous démontre tout le contraire de ce qu’il souhaitait prouver.

1029 musulmans ont été interrogés par Hakim el Karoui, l’ex-conseiller de l’ex-Premier ministre Jean-Pierre Raffarin. L’un des résultats nous apprend que 28 % de l’ensemble, en majorité des jeunes peu qualifiés, vivant dans des quartiers populaires périphériques des grandes agglomérations, voudraient imposer l’islam comme support de la société française. Vivre en marge des lois de la République et proclamer la charia, la polygamie, le niqab et la burqa.

L’islam, disent-ils, est le support de leur révolte, et cette révolte va jusqu’à la rupture, la violence et l’antisémitisme.

Et 50 %, de ces 28 %, ont moins de 25 ans.

Donc un jeune français musulman sur deux est un «radicalisé» en puissance, même s’il ne connaît pas sa religion et ne fréquente aucune mosquée.

Il souhaite une réislamisation de la famille musulmane qu’il fondera demain.

Le conseiller d’État Thierry Tuot, l’un des magistrats chargés de conclure dans l’affaire estivale du burkini, affirme (et l’on s’est bien gardé d’en informer les Français) que

«L’islamisme est la revendication publique de comportements sociaux présentés comme des exigences divines faisant irruption dans le champ public et politique».

L’islam donc s’étendra inexorablement.

Le second sondage, réalisé au printemps 2016 par l’Institut Randstad et l’OFFRE (Observatoire du fait religieux dans les entreprises), révèle que deux dirigeants sur trois notent un durcissement du «comportement religieux» dans l’espace de travail, et que dans 95 % des cas, il est d’origine musulmane.

Les symboles religieux se multiplient et, également dans 95 % des cas, ces symboles visibles sont islamiques.

Le premier «fait» religieux visible dans les entreprises, est bien entendu le port du hijab au travail.

Les conflits ont quintuplé, depuis 2013, et les poursuites engagées contre l’employeur sont toujours basées sur le «racisme» et la «discrimination».

  • Refus des hommes de travailler avec, ou sous les ordres, des femmes.
  • Refus de livrer de l’alcool ou des produits d’origine porcine.
  • Refus de travailler avec des non-musulmans.

Etc..

 

En conclusion, l’école publique est dans l’incapacité, aujourd’hui, de transmettre les valeurs républicaines en particulier aux jeunes musulmans, pour les ¾ enfants d’ouvriers et d’employés résidants en zones péri-urbaines, qui sont les premières victimes de la désindustrialisation.

La France compte 66,6 millions d’habitants (sondage INSEE du 1er janvier 2016), mais il est impossible de connaître le pourcentage de musulmans, de noirs, de blancs, de juifs, de catholiques, d’arabes, etc., et cela devient un handicap de sécurité nationale.

Quand un groupe religieux et ethnique s’attaque aux fondements mêmes de notre société, il serait indispensable, afin que cette société puisse se défendre, qu’elle dispose de ces informations concernant son adversaire, pour ne pas dire son ennemi.

En 2016, on ignore officiellement le pourcentage de la population en provenance du Maghreb ou de l’Afrique subsaharienne.

L’Institut Montaigne l’estime à environ 5,6 % (3 millions)*, alors qu’Azouz Begag, ancien ministre de l’égalité des chances (2007) l’estime à environ 15 millions (plus de 20 %).

Dans le meilleur des cas (si l’on peut dire) 50 % des 28 % sur 3 millions font 420 000 dangers potentiels pour notre pays, et il sera difficile de se protéger contre eux.

Nos gouvernants, d’où qu’ils viennent, occultent ce grave et mortel danger pour notre civilisation. Ils refusent d’admettre qu’il s’agit là d’un plan préparé de longue date pour nous coloniser insidieusement.

Dans le pire des cas (on peut le dire) 50 % des 28 % sur 15 millions font 2 250 000 dangers potentiels, et dans ce dernier cas, la France est perdue.

Il est raisonnable de supposer que ce dernier chiffre est plus proche de la réalité, et ce n’est pas fait pour nous rassurer, car seule une guerre sainte pourrait, peut-être, nous sauver.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Manuel Gomez pour Dreuz.info.

* En 1981, Georges Marchais estimait le nombre de travailleurs immigrés à 4,5 millions.

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