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Des « pacifistes »Contre les forces de l’ordre à Ventimiglia

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Des « pacifistes »Contre les forces de l’ordre à Ventimiglia

Des « pacifistes » de No border s’arment pour lutter contre les forces de l’ordre à Ventimiglia

PUBLIÉ PAR ROSALY LE 11 AOÛT 2016

Gant hérissé de pointes modèle X-Men, couteau de Rambo avec une lame de 30 cm, tubes en plastique en guise de matraques, cagoules, etc. ont été saisis à Ventimiglia lors des échauffourées de samedi dernier.

Observez cette horreur : une arme digne de Wolverine ou de Freddy Kruger. On a l’impression de se trouver dans une scène de la saga horrifique de « Nightmare ». Mais non, nous sommes dans la réalité, à la frontière franco-italienne de Ventimiglia.

Les No border se dotent du kit du parfait manifestant. Ils se rallient aux désespérés, mais font usage de la violence, avant de jouer leur rôle habituel de victimes, dans lequel ils excellent.

Là où l’Europe vole en éclats, les migrants s’agglutinent et les No Border soufflent sur les braises.

Frapper les policiers en Italie semble être devenu un sport national. Les gagnants sont toujours les fomenteurs de troubles. Si les forces de l’ordre, qui se font copieusement tabasser par les militants No Border et les clandestins, aussi appelés migrants, osaient réagir, ils risqueraient d’être accusés de torture, de non-respect des droits de l’Homme, de racisme, et toutes sortes d’ennuis pleuvraient sur leurs têtes.

Les No borders ont dressé leur dernier ring à Ventimiglia.

Ces voyous à la recherche d’un peu de visibilité sont soutenus par Georges Soros évidement, le diabolique. Ventimiglia est devenu un camp de « réfugiés » à la dérive. La situation est identique à Como et ailleurs en Italie. Les clandestins cherchent désespérément à passer en France et en Suisse, créant une situation d’illégalité et de dégradation sociale tolérée par un gouvernement qui ne soucie que de la nomination des nouveaux directeurs de la RAI, et de la prochaine campagne électorale. Dans ce vide créé par l’absence de décisions claires et définitives, se sont glissés les voyous de No Border, qui se servent des migrants comme boucliers humains pour leurs incursions.

Samedi dernier, un policier italien a succombé à un infarctus lors d’échauffourées avec les extrémistes de No Border et des migrants à la frontière franco-italienne.

Après la mort de leur collègue, à Ventimiglia, les policiers ont accusé le gouvernement italien d’accorder plus de fonds pour les migrants, au détriment de la sécurité des forces de l’ordre, et de les abandonner à leur sort.

« Nous ne cherchons pas la gloire, seulement la dignité » ont-ils crié avec colère et désespoir.

Pour ce policier, soyez — en assurés, il n’y aura aucune sanctification, aucune médaille, aucun monument à sa mémoire, contrairement à Carlo Giuliano, le voyou décédé alors qu’il s’apprêtait à briser le crâne d’un policier avec un extincteur, lors du G8 à Gênes.

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Ces délinquants qui s’auto-définissent « activistes » déclarent qu’ils n’ont rien à voir avec la mort de ce policier… Mais imaginez l’inverse : si l’un de ces braves petits était décédé d’un infarctus en plein milieu d’affrontements, aveuglé par les fumigènes, qui aurait été le responsable ? Le destin ou la police, qualifiée de fasciste ?

Pourquoi aucun d’eux n’a-t-il pris ses distances avec les individus armés arrêtés, alors qu’ils tentaient de rejoindre la garnison de Ventimiglia ?

« Il est intolérable de mourir à 53 ans à cause du gouvernement Renzi incapable d’endiguer la violence d’un groupe d’irresponsables qui s’opposent quotidiennement au travail des forces de l’ordre en alimentant tensions et affrontements sous leur propre bannière idéologique », a déclaré Gianni Tonelli, secrétaire de la Sap (Syndicat autonome de la police) qui ne tourne pas autour du pot.

La mort du policier Diego Turra qui a succombé à un infarctus dans l’exercice de ses fonctions a choqué tout le pays.

« Combien de policiers devront encore mourir avant que Renzi n’intervienne ? » se demandent avec colère les collègues de Diego. Ce gouvernement ne fait rien pour protéger ces hommes, qui jour après jour, risquent leur vie pour assurer la sécurité des citoyens.

« Le décès de Diego est la chronique d’une mort annoncée après les énièmes affrontements et l’énième refus d’accorder un jour de repos hebdomadaire », s’exclame avec rage Tonelli.

« Les agents sont obligés de travailler des dizaines d’heures supplémentaires, ils sont complètement épuisés. »

Ce qui est dénoncé depuis des mois devient une réalité. C’est le résultat de politiques inhumaines d’un gouvernement qui économise sur la sécurité interne. Des policiers de plus en plus âgés sont appelés à exécuter des tâches de plus en plus ardues, avec des horaires massacrants, pendant des heures et des heures, sous un soleil brûlant, et sans la moindre protection. Chaque jour, 3 000 agents sont retirés du contrôle du territoire et affectés à la gestion de l’urgence migratoire.

Nous payons les impôts pour que l’Etat garantisse notre sécurité, une vie tranquille, et nous refusons que nos policiers risquent leur vie pour suppléer aux lacunes d’un gouvernement distrait et inefficace. Mais le gouvernement n’en a cure.

Pendant ce temps, l’invasion du Bel Paese continue de plus belle.

Milan est submergé au point que la ministre de la Défense, Roberta Pinotti, a décidé de faire évacuer la caserne afin d’y loger des migrants. 350 militaires et leur famille préparent leur valise !

Comme l’a déclaré Forza Italia : « Chasser les militaires de la ville, c’est un projet complètement fou ! »

Mais vit-on encore dans un monde gouverné par des politiques jouissant de toutes leurs facultés mentales ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Sources :

« Artigli e passamontagna Ecco come i «pacifisti» aiutano i clandestini »/« La polizia lasciata sola tra teppisti e migranti. »/ »Quanti poliziotti devono morire prima che Renzi intervenga » Il Giornale.it (traduit et adapté par Rosaly)

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