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Policier en France un métier bien plus risqué que d’être voyou

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Policier en France un métier bien plus risqué que d’être voyou

Cazeneuve va balancer 48 policiers aux gauchistes pour acheter la paix sociale


Lors de la présentation de son rapport annuel le 06/06/2016, l’IGPN(Inspection Générale de la Police Nationale) a tenté de ménager la chèvre et le chou, en affirmant d’une part que les violences policières n’était pas « un sujet d’ampleur », et d’autre part que 48 procédures à ce sujet étaient en cours contre des policiers.

Policier en France un métier bien plus risqué que d’être voyou

Ce sont donc 48 fonctionnaires de police qui devront répondre de leurs actes devant les « boeuf-carottes », la police des polices, dont il convient d’affirmer que ses méthodes consistant à enquêter exclusivement à charge, en font une machine à broyer du fonctionnaire dans le but d’acheter la paix sociale et de maintenir le blason de l’institution le plus doré possible.

Il n’échappera à personne que la vocation d’un postulant au métier de policier n’est pas d’enquêter sur ses propres collègues. Vous comprendrez dès lors le profil de celles et ceux qui composent majoritairement les rangs de l’IGPN : des éléments avec qui personne ne veut travailler, ou des frustrés qui se vengent de leur médiocrité en cassant du flic.

Il existe bien entendu des cas, dans la police nationale comme partout ailleurs, où des fonctionnaires franchissent la ligne à ne pas dépasser, et il est parfaitement légitime qu’ils soient sanctionnés. Il existe hélas à l’inverse de très nombreux cas où des policiers font les frais d’enquêtes administratives, et parfois pénales, expéditives, et ce dans le seul but d’acheter la paix socialeau détriment de leur présomption d’innocence, par la suite avérée.

Il convient de citer deux cas précis illustrant cette réalité : celui desfonctionnaires de la BAC de Marseille, et celui des fonctionnaires de police de Vénissieux, présentés à tort comme des « ripoux ». Des carrières foutues, des vies brisées, des drames humains dont tout le monde se fout, à commencer par l’administration qui les a sanctionnés à tort.

Cette présentation peu dithyrambique de l’IGPN, qui se veut cependant pragmatique, a pour but de permettre à chacun de comprendre le cloaque dans lequel ces 48 policiers, qui devront répondre de prétendues « violences », vont se retrouver.

Derrière ces 48 policiers, pour ne pas dire ces 48 fusibles tant il est à craindre qu’ils « sautent » pour sauvegarder l’ensemble du circuit, il y a 48 familles, dont les membres vivent depuis longtemps avec la peur de ce qui pourrait arriver à celui d’entre eux qui a décidé de consacrer l’essentiel de sa vie à préserver celle des autres. Ils n’imaginaient probablement pas que l’un des principaux risques du métier était lié au fait de se retrouver en un clin d’oeil devant les autorités judiciaires, sans aucun soutien de leur hiérarchie, bien plus prompte à vouloir les enfoncer.

Notre éxécutif, actuellement incarné, s’agissant de l’Intérieur, par Bernard Cazeneuve, n’aime pas les flics. Bernard Cazeneuve l’a d’ailleurs clairement prouvé en invitant publiquement les syndicats de journalistes à déposer plainte contre les policiers, affirmant qu’il les appuierait. (Lire l’article : http://ripostelaique.com/bernard-cazeneuve-appelle-journalistes-a-deposer-plainte-contre-policiers.html)

Les 48 cas évoqués par l’IGPN sont essentiellement relatifs à des situations liées aux violences orchestrées par des anarchistes et des militants d’extrème gauche qui se sont déroulées à RENNES et à NANTES : deux villes où Bernard Cazeneuve a fait la preuve de son incapacité à rétablir l’ordre public, et dont les habitants assistent, depuis de trop longues semaines, à des scènes de guérilla urbaine.

Ces individus dont l’objectif premier est de semer le chaos et de s’en prendre frontalement et par tout moyen à tout ce qui à leur yeux représente l’autorité et le capitalisme – comprenez les forces de l’ordre et les banques –sont clairement soutenus par un certain nombre d’associations, de syndicats, de personnalités politiques et de journalistes. L’un des moyens de mener à bien leur lutte est de filmer des incidents qu’ils provoquent eux-mêmes afin de les dénoncer ensuite sur les réseaux sociaux et, bien entendu, à l’IGPN (que tout le monde peut désormais saisir directement via internet, mesure mise en oeuvre par le gouvernement socialiste).

Voilà comment 48 policiers, dont la présomption de culpabilité n’a d’égal que la détermination de Bernard Cazeneuve de faire des exemples à des fins politiques, vont passer à la moulinette, victimes d’un pourissement dont ils connaissent les responsables sur le terrain : ceux-là même qui vont les démolir…

Ils n’ont aucune chance de s’en sortir, et les gauchistes qui sont à l’origine de leur situation vont pouvoir faire la fête.

Sébastien JALLAMION

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